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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 20:06

Partie 4 : ma vie avec Celui qui m'aime (Coeur brisé)

Lorsque j’ai eu mes dix-sept ans, mes deux sœurs et moi avons été transférées dans un autre couvent à Montréal. Environ un an après, les religieuses me recommandèrent d’aller travailler dans une maison privée et ils avait trouvé cette famille qui avait besoin d’aide et c’était chez un directeur d’un collège.

Quelques semaines plus tard, cet homme est sorti avec son épouse pour une soirée de danse organisée par le collège. Alors que je restai seule à la maison pour garder leurs enfants. Au milieu de la soirée, cet homme est revenu seul à la maison et il était de toute évidence en état d’ébriété... C’est alors qu’il rentra dans ma chambre pour me réveiller afin de me faire des avances. Naturellement, je refusai de lui obéir tout en éprouvant une peur terrible. Je me cachai avec mes couvertures en m’enroulant avec celles-ci; je les serrai très fort sur moi pour ne pas lui laisser aucune chance de me toucher... Je lui dis avec la voix remplie de crainte : Non, non, je ne veux pas, et je me suis mise à pleurer parce que je me sentais encore une fois impuissante devant les avances d’un homme qui détenait une certaine autorité scolaire. En me voyant pleurer, je crois que cela a été suffisant pour le dissuader de commettre un geste malheureux; c’est comme s’il avait dégrisé tout d’un coup, il se secoua la tête et me laissa tranquille, enfin il repartit à l’étage supérieur dans ses appartements. Je crois que le Seigneur avait toujours Sa Main sur moi et me protégeait toujours.

Le lendemain, il me dit de prendre un taxi pour aller le rencontrer à son bureau, car il m’a demandé de ne pas rester chez lui à cause de sa femme qui ne semblait pas m’aimer trop!... C’est alors qu’il me paya un taxi pour que celui-ci me conduise à son bureau au collège. Ensuite il me présenta ses excuses et me demanda où je voulais aller en me disant: Je te dois bien cela non, je veux t’aider à partir où tu veux aller. Je suis restée très surprise et lui répondis avec joie : Je veux aller habiter chez un de mes frères à St-Hyacinthe parce que je ne veux plus retourner au couvent !… Ainsi, le directeur fut d’accord pour m’envoyer chez mon frère, mais il lui téléphona pour l’informer de mon arrivée chez lui. Et lorsqu’il eut la certitude que mon frère m’attendrait vraiment à St-Hyacinthe, il me conduisit au terminus d’autobus et attendit jusqu’à ce que je sois entrée dans le véhicule pour me quitter.

J’imagine combien il a été très content de se débarrasser de moi comme cela, car si j’avais été une personne qui avait voulut lui faire du mal, cela ne se serait pas terminé comme cela... Mais comme j’étais innocente et ignorante du pouvoir que j’avais entre mes mains, je laissait simplement aller les choses comme il se présentait. Mais aujourd’hui je suis certaine que Dieu avait toujours pour moi une protection spéciale pour ce genre de circonstance de la vie, mais quel combat est la vie que les jeunes filles peuvent rencontrer ??? !!! Et dans un sens, si j’ai accepté son offre, c’est aussi que j’avais toujours honte de ces actes dégradantes et j’avais peur que les sœurs disent que tout cela était de ma faute du fait que ce genre de situation se répétait souvent. Fréquemment dans des cas semblables, c’est nous les victimes qui sommes accusées et jugées à la place du coupable !...

Lorsque je fus en route pour St-Hyacinthe, mon cœur débordait de joie juste à la pensée de revoir mon frère et de pouvoir vivre chez lui. Je pensais alors que mes problèmes prendraient fin. Je m’entendais très bien avec ce frère. Quelques semaines plus tard, je voyais souvent ma belle-sœur fatiguée et nerveuse, je sentais bien qu’elle n’appréciait pas du tout que je cohabite avec eux. Évidemment j’ai dus les quitter avec beaucoup de peine, car mon frère en avait ainsi décidé pour sauver sa vie de couple. Mais il ne manqua pas de me donner ses recommandations fraternelles. Il fallut donc me résigner pour aller vivre chez des étrangers et ça me rendait très sinécure; mais mon frère me rassura là-dessus.

Et lorsque j’ai trouvé un endroit pour rester en chambre et pension c’était chez un couple qui était sans enfant, j’éprouvais beaucoup de difficultés à m’adapter à eux et plus principalement avec son mari qui m’intimidait beaucoup; à cause de ma crainte des hommes qui me traquait toujours... Ce couple était pourtant très gentils et très doux tous les deux. Je sentais bien parfois qu’ils désiraient communiquer avec moi, mais je ne le pouvais pas! Je sortais pour aller travailler et immédiatement après le travail, je revenais chez moi pour y demeurer le reste de la journée enfermée dans ma chambre. J’y sortais uniquement pour aller manger avec eux. Quelquefois, il y eut des moments où j’aurais bien voulu parler avec eux, mais j’étais comme bloquée, paralysée, incapable de parler de mes histoires intimes avec eux ni avec personne d’autre d’ailleurs...

Au travail, parfois mes amies me demandaient de les accompagner le samedi soir pour aller danser et m’amuser avec elles. Je leur donnais comme prétexte que ça ne me tentait pas car je n’osais m’aventurer avec elles. Alors rendue chez-moi, je méditais sur mon avenir et sur mon comportement qui étaient vraiment différents des leurs...

Environ dix mois plus tard, je décidai finalement d’accepter leur invitation pour aller danser avec elles. J’avais dix-neuf ans lors de ma première sortie. Rendue à la salle de danse, je n’avais jusqu’alors jamais vu autant de gens et une aussi grande piste de danse. Au début, j’eus un peu peur de voir autant de gens autour de moi qui s’amusaient, sautaient et dansaient. C’était tous des jeunes de mon âge, mais ma peur n’a pas duré bien longtemps lorsque je commençai à me laisser entraîner par leurs enthousiastes !

Au cours de la soirée, nous avons fait un Pol-Jöns, c’était une danse folklorique que je connaissais, cette danse nous faisait tourner autour de la grande salle en dansant et lorsqu’on arrêtait la musique, on s’arrêtait de danser pour se laissait inviter par un autre garçon en face de soi. À un moment donné, il y eut un garçon qui poussait tous les autres pour pouvoir danser avec moi. Je suis restée surprise et heureuse tout à la fois et je me suis dit intérieurement : Eh bien, je ne suis pas si pire que ça après tout ! Et je me suis amusée toute la soirée comme jamais auparavant et toujours avec le même garçon ! Ce fut merveilleux de redécouvrir que l’on est aimé et que l’on pouvait s’amuser sainement. Cette soirée m’a rassurée en me redonnant une plus grande confiance en moi et ce même sentiment m’habita pendant plusieurs mois. Lorsque je commençai à connaître un peu plus ces jeunes gens, j’étais devenue plus à l’aise avec eux. Je m’amusais comme une enfant sans aucune arrière-pensée et sans méchanceté d’aucune sorte. Ma conduite était respectueuse et mes pensées se faisaient saines et corrects lorsque je dansais.

Quelques années plus tard, je voulais rencontrer quelqu’un de sérieux, mais je me suis vite rendue compte que la plupart de ces jeunes hommes qui voulaient sortir avec moi, n’étaient pas aussi matures que je l’aurais souhaité... Leur motivation était simplement comme ceux que j’ai rencontrés dans le passé, de vouloir s’amuser avec moi pour en satisfaire uniquement leur appétit sexuel. Ils fuyaient l’engagement du véritable sens de l’Amour !

Montréal, la grande ville...

C’est à l’âge de vingt et un ans que je quittai St-Hyacinthe pour aller vivre à Montréal avec un autre de mes frères qui se trouvait encore célibataire; nous avons donc décidés de partagé le même appartement. Tout allait bien jusqu’au jour où je décidai de décorer l’appartement avec lui. Pour ce faire, j’avais besoin d’un outil et je suis allée le demander au concierge en lui disant que c’était pour mon frère. Celui-ci me répliqua : Oui pour ton frère, mon oeil ! Son attitude me surprit et me blessa parce que pour moi c’était bien normal de pouvoir cohabiter avec son frère, il n’y avait rien de mal à cela. J’essayai de le convaincre que mon frère était bel et bien mon vrai frère, mais il n’y avait rien à faire... Ce petit fait me troubla un peut, car je voyais que le monde mettait du mal dans tout. Par la suite, je me suis aperçue aussi que mon frère en plaisantant me faisait passer pour une de ses amies. J’ai donc averti mon frère de ne pas jouer à ce petit jeu ! Un peu plus tard, je découvris le véritable caractère de mon frère et mes relations devenaient de plus en plus difficiles avec lui. Il était devenu comme tant d’autres hommes... Il était de plus en plus négligeant pour partager les dépenses du logement et de l’entretien, je me trouvai donc dans l’obligation de le quitter...

Avant mon départ, mon frère s’était arrangé avec un autre de mes frères pour me prendre plusieurs articles de mon trousseau de lingerie et de cuisine que j’avais réussie à m’acheté avec mes économies de plusieurs années. Je quittai quand même l’appartement sans pouvoir rien faire. Évidemment, je n’ai pas pu récupérer rien de ce qu’ils m’avaient enlevé. Lorsque je suis allée me louer un autre appartement avec ma soeur et une de ses amies, je m’étais mise dans la tête de trouver un moyen commun pour me venger de mon frère. Comme tout le monde faisait, je ne voulais surtout pas lui pardonner! Je me disais que là, j’en ai assez de toujours pardonner et que rien ne se passe ! Je ne comprenais vraiment rien de ce que c’était de pardonner… En cela, par malheur je me suis rebellée contre D.ieu en Lui disant : Si je pardonne, ça ne changera rien dans les situations que je vis! Tous les jours après cela, je continuai à chercher vengeance et, à chaque fois que je voulus me venger, je n’y arrivais jamais; cela devenait encore plus frustrant pour moi !

Je suis certaine que Le Sei.gneur dans Sa Grande Bonté, son Amour, Sa Patience et Sa miséricorde voulait m’empêcher à tout prix de le faire pour qu’à la place j’apprenne à pardonner comme Lui, car c’est à D.ieu qu’appartient la vengeance..., mais à cet époque, je ne comprenais tout simplement pas ce que D.ieu voulait pour moi! Et dans mes pensées au lieu d’accepter de lui pardonner, je me demandais comment il se faisait que mon frère puisse faire le mal sans qu’il en éprouve aucun remords de conscience!?! Mon entêtement à ne pas vouloir pardonner me rendait malade, parce que je continuai à entretenir une rancune terrible dans mon cœur face à mon frère, jusqu’à ce qu’il y ait une possibilité de satisfaire ma vengeance...

J’ai vécus encore quelques années avec cette même attitude de vouloir accomplir ma vengeance personnelle, mais jamais je n’ai pu me venger comme je le voulais ! D.ieu est plus fort que mon coeur... Et un moment donné, je compris qu’il fallait que je lâche prise et que je lui pardonne. J’étais sur le point de me détruire par mon entêtement de ne pas vouloir pardonner comme tout le monde fait... Je maigrissais de plus en plus; il ne me restait plus que la peau et les os sur mon corps ! C’est alors que je finis par accepter de lui accorder mon pardon et, aussitôt après avoir accepté de pardonner, je me suis sentie complètement soulagé, libérée et cette tâche de vouloir me venger s’envola !...

Je compris par le fait même que je ne pouvais tenir tête à D.ieu et me rebeller comme cela contre Lui. D.ieu est plus fort et combien Sa Bonté, et sa Patience est Grande, Il nous aime tellement qu’Il ne veut pas que personne ne se perde à cause de soi-même, à cause du système de ce monde qui est de se faire justice soi-même... Parfois, D.ieu attend que nous soyons rendus au bout de nos forces pour que l’on puisse finalement reconnaître que nous avons besoin de Lui et lâché prise pour toutes choses en Le laissant accomplir Lui-même par Sa Justice et Sa miséricorde. D.ieu connaît nos cœurs et Il est toujours prêt à nous garder malgré notre entêtement; Il sait d’avance que lorsque nous aurons lâché prise sur nous-mêmes, nous Le laisserons agir à Sa manière qui est parfaite pour nous, parce que Lui seul est capable de tout arranger par Sa Justice et Sa droiture. Il pardonne à celui qui pardonne... Le non-pardon mène à une mort certaine.

Je constate aussi que lorsque nous sommes dans l’ignorance de ce qui a été écrit pour nous dans les Saintes Écriture, nous allons vers l’enfer et combien nous pouvons déplaire à D.ieu, D.ieu sais que nous n’avons pas reçu le bon enseignement, c’est pourquoi Il est Patient avec nous à cause de l’Amour véritable qu’Il a pour chacun de nous. Son Amour et Son Pardon est la vie pour nos os.

Si j’avais compris le sens du pardon de D.ieu à cette époque, comme je le comprends aujourd’hui, je suis certaine que je n’aurais pas attendu trois ans avant de pardonner à mon frère. Ce butin qu’il m’a prit à mes dépends m’aurait fait aussi mal, mais avec le pardon de D.ieu, je n’aurais pas souffert aussi longtemps, parce que D.ieu nous aide à tout supporter et enlève cette épine qui fait si mal dans nos cœurs lorsque l’on pardonne vraiment et seul D.ieu te donne Son Pardon et c’est Lui aussi qui te donne le vouloir et le faire pour pouvoir pardonner, et il reste juste à nous d’accepter Son don du pardon, car la Paix vient toujours après avoir accepter de pardonner.

Car si tu pardonnes Dieu pardonne et si tu ne pardonne pas Dieu ne pardonne pas non plus. Matthieu 6,14-15.

Si Tu voulais épier nos fautes, Seigneur, qui pourrait survivre? Mais c’est Toi qui dispose du pardon, c’est pourquoi Tu dois être respecté. Psaume 130,3-4

Dieu n’a pas permis que je me venge parce que ma vengeance n’aurait pas été juste et cela aurait provoqué une réplique de la part de mon frère et cela n’aurait plus eu de fin. C’est D.ieu seul qui doit faire Justice car il est écrit : Ne vous venger pas vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère, car il est écrit : A Moi la vengeance, et c’est Moi qui rétribuerai, dit Le Seigneur. Romains 12,19

Proverbes 20,22. Ne dis pas : Je rendrai le mal, espère en l’Éternel, et Il te sauvera.

Proverbe 24,29. Ne dis pas : Comme il m’a fait, ainsi je lui ferai, Je rendrai à chacun selon ses œuvres.

Apprendre à faire le bien contre le mal, ou surmonte le mal par le bien...

Romains 12,17. Ne rendez à personne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes.


Romains 12,20-21. Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger; s'il a soif, donne-lui à boire; car en agissant ainsi, ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête. Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais surmonte le mal par le bien.

Psaume 37, 1-40. Ne t’irrite pas contre les méchants, N’envie pas ceux qui font le mal. Car ils sont fauchés aussi vite que l’herbe, Et ils se flétrissent comme le gazon vert. Confie-toi en l’Éternel, et pratique le bien; Aie le pays pour demeure et la fidélité pour pâture. Fais de l’Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton coeur désire. Recommande ton sort à l’Éternel, Mets en lui ta confiance, et il agira. Il fera paraître ta justice comme la lumière, Et ton droit comme le soleil à son midi. Garde le silence devant l’Éternel, et espère en lui; Ne t’irrite pas contre celui qui réussit dans ses voies, Contre l’homme qui vient à bout de ses mauvais desseins. Laisse la colère, abandonne la fureur; Ne t’irrite pas, ce serait mal faire. Car les méchants seront retranchés, Et ceux qui espèrent en l’Éternel posséderont le pays.

10 - Encore un peu de temps, et le méchant n’est plus; Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu. Les misérables possèdent le pays, Et ils jouissent abondamment de la paix. Le méchant forme des projets contre le juste, Et il grince des dents contre lui. Le Seigneur se rit du méchant, Car il voit que son jour arrive. Les méchants tirent le glaive, Ils bandent leur arc, Pour faire tomber le malheureux et l’indigent, Pour égorger ceux dont la voie est droite. Leur glaive entre dans leur propre coeur, Et leurs arcs se brisent. Mieux vaut le peu du juste Que l’abondance de beaucoup de méchants; Car les bras des méchants seront brisés, Mais l’Éternel soutient les justes. L’Éternel connaît les jours des hommes intègres, Et leur héritage dure à jamais. Ils ne sont pas confondus au temps du malheur, Et ils sont rassasiés aux jours de la famine.

20 - Mais les méchants périssent, Et les ennemis de l’Éternel, comme les plus beaux pâturages; Ils s’évanouissent, ils s’évanouissent en fumée. Le méchant emprunte, et il ne rend pas; Le juste est compatissant, et il donne. Car ceux que bénit l’Éternel possèdent le pays, Et ceux qu’il maudit sont retranchés. L’Éternel affermit les pas de l’homme, Et il prend plaisir à sa voie; S’il tombe, il n’est pas terrassé, Car l’Éternel lui prend la main. J’ai été jeune, j’ai vieilli; Et je n’ai point vu le juste abandonné, Ni sa postérité mendiant son pain. Toujours il est compatissant, et il prête; Et sa postérité est bénie. Détourne-toi du mal, fais le bien, Et possède à jamais ta demeure. Car l’Éternel aime la justice, Et il n’abandonne pas ses fidèles; Ils sont toujours sous sa garde, Mais la postérité des méchants est retranchée. Les justes posséderont le pays, Et ils y demeureront à jamais.

30 - La bouche du juste annonce la sagesse, Et sa langue proclame la justice. La loi de son Dieu est dans son coeur; Ses pas ne chancellent point. Le méchant épie le juste, Et il cherche à le faire mourir. L’Éternel ne le laisse pas entre ses mains, Et il ne le condamne pas quand il est en jugement. Espère en l’Éternel, garde sa voie, Et il t’élèvera pour que tu possèdes le pays; Tu verras les méchants retranchés. J’ai vu le méchant dans toute sa puissance; Il s’étendait comme un arbre verdoyant. Il a passé, et voici, il n’est plus; Je le cherche, et il ne se trouve plus. Observe celui qui est intègre, et regarde celui qui est droit; Car il y a une postérité pour l’homme de paix. Mais les rebelles sont tous anéantis, La postérité des méchants est retranchée. Le salut des justes vient de l’Éternel; Il est leur protecteur au temps de la détresse. L’Éternel les secourt et les délivre; Il les délivre des méchants et les sauve, Parce qu’ils cherchent en lui leur refuge.

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  • : Ce deuxième blog est pour continuer à exhorter et encourager mes semblable et y ajouter ce que D.ieu fait encore dans ma vie. par l'Amour de D.ieu en Jésus-Christ Notre Sei.gneur et Sauveur. Toutes inspiration sont données par l'Esprit-Saint sans l'aide d'aucune religion, parce que D.ieu est une relation personnelle et non une religion. Ce sont les hommes religieux qui ont à fait des religions.
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  • Hectorine
  • Shalom dans le Nom de Yeshoua. Je me nomme Hectorine Duclos je suis écrivaine dans le domaine spirituel, c'est un don que D.ieu m'a donné en l'an 1992 et je donne tous ces écrits pour la gloire de D.ieu. Amen!
  • Shalom dans le Nom de Yeshoua. Je me nomme Hectorine Duclos je suis écrivaine dans le domaine spirituel, c'est un don que D.ieu m'a donné en l'an 1992 et je donne tous ces écrits pour la gloire de D.ieu. Amen!

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