1er PARTIE) ON LUI AVAIT INTERDIT DE PARLER DE JESUS...
Je suis d’origine juive, élevée dès ma plus tendre enfance dans la religion de mes pères, à laquelle j’étais très attachée, bien que je n’en ai pas toujours
compris les prescriptions. J’étais l’aînée, j’avais dû, sur le plan religieux, remplacer mon père, pour conduire mes frères et soeurs dans les pratiques traditionnelles
juives.
J’ai épousé Roland qui était chrétien de tradition. Cette union avec un non-juif a été mal acceptée par toute ma famille. Mais j’aimais beaucoup ce garçon
et je pensais qu’au vingtième siècle, les querelles religieuses étaient périmées. Malheureusement, notre mariage a été un echec, dès le début. Au bout de quinze jours, toutes mes illusions sont
tombées. Pendant près de dix ans, notre maison fut un enfer. Nous vivions dans la haine : mon mari détestait les juifs. Il est impossible de raconter toutes les scènes de violence qui déchiraient
notre foyer et dont nos jeunes enfants étaient les malheureux témoins.
Roland avait une passion ruineuse : le jeu. Il n’apportait jamais d’argent à la maison et j’étais obligée de travailler pour donner le nécessaire à mes
enfants.
Plusieurs fois nous avons pensé divorcer. Nous nous séparions, mais nous revenions toujours ensemble à cause des enfants : ils étaient ma raison de vivre.
Mon mari se souciait fort peu de nous et menait une vie très indépendante. A plusieurs reprises, j’ai voulu me suicider : un jour, j’ai avalé le contenu d’une tube entier de gardénal, une autre
fois, j’ai même avalé des lames de rasoir que j’avais au préalable brisées. Mais mon mari survenait chaque fois au bon moment et ma tentative échouait. Avec le recul, je comprends aujourd’hui que
Dieu m’a ainsi plusieurs fois sauvée de la mort car je n’étais pas prête à le rencontrer.
Il m’arrivait, dans ces moments de désespoir, de penser que je subissais un châtiment divin, pour m’être mariée à un non-juif. Je pensais parfois à
l’éternité. Qu’y avait-il après la mort ? A quoi cela me servait-il de vivre cette vie cauchemardesque ? Il faut dire qu’en tant que femme, je connaissais assez peu la Bible, l’enseignement de la
Thora étant plutôt réservé aux hommes, en tous cas à cette époque. Souvent j’interrogeais ma grand-mère pour connaître la signification des pratiques traditionnelles que nous dictait notre
religion. Mais elle ne pouvait guère me renseigner : il fallait obéir, suivre scrupuleusement des rites, vides de sens. Nous devions faire ainsi, car on avait toujours fait ainsi dans la
famille.
Dieu a eu beaucoup de patience et d’amour à mon égard. Il s’est révélé à moi alors que je ne le cherchais pas. Je haïssais le christianisme. Il faut dire à
ma décharge, que je le jugeais au travers de mon mari, qui, bien sûr, était un "chrétien"...Dans ma religion, on m’apprit qu’il ne fallait pas prononcer le nom de Jésus. De plus, nos familles
nous répétaient sans cesse que nous n’étions pas faits l’un pour l’autre. Nous n’avions même pas d’appartement attitré, nous allions tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre.
Peu de temps avant de tomber malade, j’avais formé le projet de partir avec mes trois enfants en Israël. Le consistoire juif m’avait promis un avocat pour
divorcer. Mon dossier était déjà prêt, selon la loi juive, j’avais le droit de donner ma religion à mes enfants et nous aurions été acceptés en Israël.
Ce témoignage me fait penser à moi lorsque je suis arrivé dans ce centre pour personnes âgées, je parlais évidemment de Jésus et on m'a dit de ne pas parler de Jésus ici car dans cette maison c'est catholique, alors ça m'a brisé le coeur, de ne pas pouvoir annoncer la bonne nouvelle aux personnes âgées, mais j'en parlais pareil en cachette, et aujourd'hui, nous sommes plusieurs convertis à Jésus autant qu'employer que les malades, plusieurs sont morts avant qu'ils puissent en parler, mais je sais qu'ils sont à Jésus. Plusieurs de ses convertis qui sont employer parlent de Jésus et ont été aussi avertis de ne pas trop parler de Jésus, mais on travaille fort à propager la bonne nouvelle du Salut discrètement, et on parle de Jésus à tout le monde, et le vieux prêtre est partie et celui qui l'a remplacé je lui ai parler aussi et il n'y a pas été question de m'empêcher de parler de Jésus. Je place des signets pour expliquer le salut à la petite chapelle et les gens les lisent comme ils en ont envient à la chapelle. Alors tous les chrétiens qui travaillent ici me connaissent tous et nous parlons de Jésus lorsque nous avons l'occasion de le faire. Et lorsque l'on a eu une réunion on nous a annoncé que maintenant ils acceptent toutes les religions pour ne pas blesser personne dans leur foi. Oui C'est D.ieu qui change les choses lorsque c'est Sa volonté de le faire à Sa manière. Alors gloire à D.ieu ! Maintenant lorsque nous avons l'occasion de parler de Jésus aux catholiques de cette maison, je le fais. je rends grâce à D.ieu pour tout ce qu'Il fait ici. Nous avons des combats pareil, mais si D.ieu est avec nous qui peut être contre nous. Amen et Amen !
MERCI SEI.GNEUR DE CHANGER LES CHOSES QUE L'ON NE PEUT PAS CHANGER. GLORIFIE TOI EN CE LIEUX AU NOM DE JÉSUS, D.IEU ÉCOUTE LES CRIES DU COEUR. AMEN.
Hecto
Le malheur atteint souvent le juste, Mais l'Éternel l'en délivre toujours.
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